Si vous diffusez du contenu sur le Web et qu’il n’y a personne pour le lire, ce contenu a-t-il une valeur ? C’est la question existentielle que se posent tous les intervenants de l’écosystème des médias. Un véritable casse-tête. Si vous êtes un créateur de contenu reconnu – un média réputé comme le New York Times ou une grande marque commerciale comme Unilever –, vous avez une longueur d’avance, un réel avantage. Dans ce milieu, les nouveaux joueurs sont des rebelles combatifs qui peuvent nous en apprendre beaucoup sur ce qui fonctionne ou pas. David Skok, rédacteur en chef de The Logic, et James Mirtle, rédacteur en chef et chroniqueur pour The Athletic de Toronto, se joignent à l’animatrice Sophie Nadeau, directrice des relations médias chez Edelman Canada, pour parler de la chasse aux audiences.

“Je pense qu’on doit davantage croire à son contenu et à ses valeurs qu’on le fait peut-être en réalité. Ce n’est pas seulement lié à l’entreprise pour laquelle on travaille. Bien des gens ont leur propre marque personnelle qu’ils peuvent vendre et commercialiser. Il y a beaucoup plus d’occasions de ce genre qui existent actuellement au Canada. C’est ce que j’ai appris. Que j’aurais dû croire que c’était possible bien plus que je ne l’ai fait.”

- James Mirtle, rédacteur en chef et chroniqueur, The Athletic

Pour poursuivre la conversation, retrouvez-nous sur Twitter : David Skok à @dskok, James Mirtl à @mirtle et Sophie Nadeau à @sophienadeau.